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Sucre


Chapitre 1

 

Le sucre et nous

 

-consommation

Nous consommons en moyenne 35 Kg de sucre par personne et par ans en France.

Le sucre de bouche (ou sucre pris en sus) ne représente que 10% de cette consommation.

La majorité des sucres est absorbée dans les produits transformés par l’industrie alimentaire (gâteaux, sodas, glaces …) ,mais aussi dans des produits salés qui contiennent du sucre comme agent de sapidité. Le reste est contenu dans l’alcool et les produits pharmaceutiques.

Il ne s’agit la que des sucres ajoutés nous consommons énormément de glucide sous formes de féculent ,elles sont au cœur de nos assiettes car nous avons peur d’en manquer

 

-Les recommandations officielles

Elles mettent en 1° place les féculents à chaque repas ! Alors que les légumes et les fruits n’arrivent qu’en 2° position.

Ainsi il est assez fréquent qu’un patient consomme jusqu'à 80% de sa ration alimentaire sous forme de glucide !!

Répartition actuelle des glucides dans notre alimentation

Les féculents au cœur de l’alimentation 50% des calories proviennent des glucides 

 

-Les raisons de la consommation de glucides

Le conditionnement publicitaire

Sucre = dynamisme  et énergie

La mode du blanc : le pain blanc agréable à regarder mais dont la perte de fibres génère du collage dans l’intestin.

 

-la désinformation et ses  effets 

Le light et régimes lipophobes

Ce sont les régimes pauvres en graisses qui ont amené la surconsommation de sucre. Dans le même temps nous manquons de bonnes graisses (notamment les déficits en oméga 3 qui sont nécessaires à la perte de poids)

Le mythe des bons et mauvais sucre : il ne faut pas abuser des sucres.

 

Au résultat : tous accros

Le sucre est plus addictif que la cocaïne c’est à dire que plus on s’habitue à consommer du sucre et plus il est difficile de s’en passer.

 

 

-quelques définitions à connaitre

 

-L’index glycémique(IG)permet de classer les aliments en fonction de la réponse qu’ile induisent sur la glycémie sanguine durant les 2 heures suivant l’ingestion. Plus l’index glycémique d’un aliment est élevé plus le taux de glucose dans le sang augmente et plus la sécrétion d’insuline augmente.

 

-Insuline (hormone sécrétée par le pancréas ).C’est la seule hormone hypoglycémiante de l’organisme (d’ou la fragilité de cet équilibre).Elle est aussi l’hormone de la mise en réserve des sucre excédentaire sous forme de graisse : la surcharge pondéral est toujours accompagnée d’hyperglycémie

 

-Les FODMAP(Fermentable Oligo-, Di-, Mono-saccharides And Polyols)

 Groupe d’hydrates de carbone à chaîne courte (oligosaccharides), les disaccharides, les monosaccharides et les alcools associés, peu absorbés par l'intestin grêle. 

 

-L’intestin irritable : Mal mystérieux pour le moins et apanage des pays occidentaux. Si les investigations ne révèlent pas grand-chose de spécifique, ce mal bien réel est l’objet de spéculations qui s’oriente aujourd’hui vers un déséquilibre du micro biote intestinal.

 

-Le syndrome métabolique : le mal de notre société de consommation. Il est scientifiquement accepté que l’association : diabète type II+ hypertension+ maladie poly-vasculaire( cœur, cerveau, membre inferieur)+ goutte+ hypercholestérolémie et obésité sont liés par le même mécanisme  métabolique.

 

 

 

 

 

Chapitre 2 

Les différents types de sucre 

 

Le sucre parfait n’existe pas !!

Le saccharose est le plus utilisé dans l’alimentation humaine comme pour les autres aliment en général plus le sucre est foncé meilleur il est pour la santé.

 

Le sucre blanc le sucre de betterave est naturellement blanc .C’est un sucre néfaste car il puise dans l’organisme de précieux nutriments en l’acidifiant.

 

-Les sucres naturels les plus fréquents

 

Le sucre roux 

Il peut provenir de betterave (coloré avec du caramel) ce qui le rend 2 fois indésirable.

Lorsqu’il est extrait de la cane à sucre il est encore trop raffiné.

 

Le sucre de canne complet (rapadura * ou muscovado) 

Il provient du jus de cannes à sucre sa production traditionnelle est plus intéressante que l’industrielle .Il contient tout de même du potassium, calcium ,magnésium ,phosphore, fer et vitamine B .En fait il est aussi calorique que le sucre blanc avec un fort index glycémique.

 

 

 

Le sucre de coco

Provient de la sève des fleurs du cocotier et concentré en sirop par évaporation. Il est alors embouteillé ou cristallisé.

Sa production est respectueuse de l’environnement avec un bon rendement. Il est donc intéressant, mais c’est un sucre !

 

 

Les autres sucres

Les plus naturels : le miel considéré depuis l’antiquité comme aliment- médicament (antioxydant, anti inflammatoire, antibactérien stimulant de l’immunité protecteur du micro biote intestinal. Mais il a un fort indice glycémique et plus cariogène que le sucre blanc. Associé au pâtisseries, il fermente .Il doit être consommé seul, à distance des repas il doit donc être évité au quotidien et réservé a la prévention des maladies hivernales.

 

 

En résumé : ces sucres naturels sont plutôt intéressants, mais consommés quotidiennement ils favorisent l’addiction .Ils seront donc utilisés occasionnellement, en quantité raisonnable, lorsqu’ils ne peuvent pas être remplacés par les fruits.

 

-Les sucres industriels

Ils nécessitent des procédés de cuisson à haute température.

 

Sirop d’agave 

Il est arrivé sur le marché dans les années 90 et a créé une petite révolution (index glycémique bas, recommandé aux diabétiques, pouvoir sucrant plus élevé que pour le sucre blanc(X 3) facile à utiliser en cuisine (neutre de gout).

En réalité il contient beaucoup  d’amidon sa production est industrielle comme celle du sirop de glucose.

L’index glycémique est variable en fonction du mode de production jusqu’à 90)

Il est riche en fructose (problème et de tolérance de digestion)

Il fait fermenter les pâtisseries.

 

 

Sirop d’érable

Il provient de la sève d’érable produit de façon traditionnel sa préparation est longue et couteuse.

Le procédé industriel plus rapide ne permet pas d’en conserver le gout inimitable et nécessite des adjuvants (IG plus faible, et pouvoir sucrant plus élevé contient des vitamine B zinc cal potassium il est donc intéressant, a utiliser occasionnellement.

 

Sirop de riz : obtenu par fermentation, il contient du maltose du glucose peu de fructose donc intéressant pour les personne intolérant au Fodmap*(définition au chapitre suivant) mais son IG est à 98.

 

Sirop de fructose-glucose : le fléaux de notre temps .Il est contenu dans les sodas

On le trouve sous différents vocables : iso glucose, sirop de glucose fructose, sirop de maïs, HFCS …utilisé en industrie agroalimentaire pour remplacer le saccharose car moins couteux (glace soda gâteaux bonbon pâtisserie soupe sauce pate, produits congelés

Son index glycémique est très élevé contient du fructose concentré d’effet délétère responsable de l’épidémie d’obésité  en occident.

Sirop d’agave, érable, et mélasse sont remplaçables par le sirop de coco.

 

Ces sucre sont a éviter en mode « slow sugar » : le sirop d’érable peut être utilisé, mais pendant la cure de 8 semaines on les évitera totalement.

 

Les édulcorants chimiques

 

Les édulcorants de synthèse : aspartane, saccharine cyclamate, sucralose acésulfame k néotame, alitame issu de processus chimique ils permettent de créer le gout sucré sans apport calorique.

Ils seraient recommandés dans les régimes amaigrissant ce qui est une erreur.

En effet on a montré la neuro toxicité de l’Aspartane mais également des effets gênants fréquents.

Les édulcorants sont des « non aliments », sans intérêt diététique et qui favorisent l’obésité. Ils créent une sensation de faim permanente avec addiction aux glucides

(Grignotage) qui favorisent le diabète.

 

Les polyols (sucre alcool)

L’épidémie de diabète a engendré la création de nouveau sucrants : érythritol, sorbitol, mannitol, xylitol (sucre de bouleau)

Ce sont des sucres très transformés même si le produit est d’origine naturelle

Ils induisent les mêmes effets que les produits précédents et sont difficiles à digérer par déséquilibre du micro biote

La mauvaise santé intestinale déséquilibre les métabolismes.

 

Les édulcorants naturels

 

Ces sucres naturels plus sains entretiennent les envies de sucres.

Le stévia contient  du glycosides de steviol qui a un fort pouvoir sucrant (selon OMS pas de risque de cancer ou de neuro toxicité)

Sirop de yacon ou poire de terre IG faible, pouvoir sucrant fort, sans sécrétion d’insuline

 

Mais comme toutes les fibres non digérées ils peuvent provoquer troubles digestifs

Ces édulcorants favorisent l’addiction aux sucres

 

En résumé : Il est préférable de s’orienter vers de vrais sucres ,aussi naturels que possible, mais faible quantité (sucre de coco).

 

Chapitre 3

 

Fructose et FODMAP.

 

Le problème de l’intestin irritable lié au FODMAP. On n’intègrera pas l’éviction totale du fructose et des FODMAP dans le programme de 8 semaines

 

Le fructose : objet de controverse pourtant recommandé par certain dans la diététique du diabète en alternative au sucre blanc.

Index glycémique bas, pouvoir sucrant élevé (économique)

Utilisé en industrie dans les pâtisseries, soda

Connu en France sous le non de glucose-fructose ou sirop de maïs.

Il semble que le fructose pris isolément soit néfaste, le fructose n’existe pas seul à l’état naturel, il est toujours associé à du glucose avec des proportion variable 40/60 (saccharose)dans la betterave et 60/40 dans les fruit donc les fruits consommés entiers ne pose pas de problème.

Les jus frais sont intéressants

L’industrie, en retirant les fibres de ces jus, augmente la concentration en sucre.

Donc éviter les jus industriels quelque soit l’étiquette (restreint en vitamine et fort en sucre) donc faire les jus soi même en proportion de 25% fruit contre 75% légume.

 

Consommer du fructose seul est dangereux pour le foie (agissant comme un alcool il peut amener une stéatose du foie)

Il épuise le pancréas conduisant à un diabète de type II, syndrome métabolique, obésité AVC, intestin irritable. 

C’est la quantité qui fait la toxicité ! mais aussi l’isolement des molécule que pratique l’industrie : le fructose consommé isolement a de forte concentration comme ile st proposé dans l’industrie est dangereux. Les fruits consommés entiers en quantité raisonnable ne posent pas de problème (en dehors d’une intolérance au fructose)

 

Les FODMAP (fermentable oligo di mono saccharides and polyols) engendre uns fermentation intestinal)

Les FODMAP sont des sucres spécifiques que notre intestin n’est capable de digérer que partiellement. Dans le syndrome du colon irritables ces glucides sont responsables de douleurs et de ballonnements. Exemple : le fructose et le lactose contenu dans les fruits, les légumes et produits laitiers.

 

Intolérance au FOMAP

La fermentation intestinale est un phénomène normal, mais chez certaines personnes sensibles, elle peut déclencher le S.I.I (syndrome de intestin irritable)

Les FOMAP en excès vont déséquilibrer le micro biote qui laissera passer à travers la paroi intestinale des bactéries et levures pathogènes responsables d’inflammation d’immunosuppression et souvent intolérance alimentaire.

La suppression des FOMAP est efficace pour réduire le SII.

 

Faire le diagnostic d’intolérance aux FOMAP

On peut les retirer pendant 1 mois pour observer la diminution de l’intolérance ; puis de les réintroduire par famille de façon à reconnaître ceux qui posent problème.

Une autre technique repose sur l’analyse des gaz expirés cette technique assez précise est pratiquée chez certains naturopathes.

 

Les aliments riches en FOMAP

Le fructose en excès : cerises, coings, figues, goyaves, mangues, melons, pommes, poires, asperges, artichauts, topinambours, miel, mêlasse, sirops à haute teneur en fructose, confiseries, sodas..

 

Lactose: lait de vache, chèvre, brebis, crème, yaourt, poudre de lait, fromage frais, ou affinage < 3 mois (fromage blanc, faisselle, mascarpone, roquefort, crèmes glacées ainsi que tout produit industriel contenant du lait

 

Galacto-oligosaccharides : toutes les légumineuse, maïs asperges, betteraves, choux de Bruxelles, café chocolat

 

Fructanes : blé seigle, orge ,oignons, ails ,échalotes, poireaux, aubergines, topinambours ,artichaut, asperges, betteraves, brocolis, choux, fenouil, manioc melon kaki, pèches blanches, abricots ,figues, datte, prune noir, pruneau, pistache, noix de cajou.

 

Polyols : chewing-gums, bonbon chocolat sucré avec sorbitol, mannitol, xylitol, iso malt, lactilol, érythritol, polydexose, 

Abricots, avocats, cassis, cerises, melons d’eau, mures, nectarines, pêches, poires, pommes, prunes, pruneaux, noix de coco, champignons.

 

Chapitre 4

L’index glycémique

 

-définitions et conséquences

L’index glycémique permet de classer les aliments en fonction de la réponse qu’ils induisent sur la glycémie sanguine durant les 2 heures suivant l’ingestion. Plus l’index glycémique d’un aliment est élevé plus le taux de glucose dans le sang augmente et plus la sécrétion d’insuline augmente.

Le problème est que si dans un premier temps, l’excèdent de sucre est stocké sous forme de glycogène dans le fois, dans un deuxième temps, lorsque cette réserve est saturé, l’organisme va orienter l’excèdent de sucre sous forme de triglycéride et donc de graisses corporelles. Donc plus on consomme d’aliment à fort IG et plus on a de risque de stoker des graisses.

D’autre part secondairement au 1° pic d’hyperglycémie fera suite, environ 3 heures après, une hypoglycémie réactionnelle, véritable stress pour le corps humain avec fatigue, envie de sucre ou de café .Pour une meilleur équilibre, il est donc primordial de contrôler les index glycémiques.

 

 

Modificateur de l’index glycémique

 

La présence de fibres solublesest responsable d’un effet hypoglycémiant. Par exemple : le riz blanc a un IG supérieur au riz complet

Donc privilégiez les céréales complètes 

Consommer des légumes aux repas

Préférez les fruits entiers

 

La présence d’autres aliments

Certains aliments qui ralentissent la digestion, induisent une diminution de l’IG du bol alimentaire ; c’est le cas des protéines et des lipides.

La cannelle est aussi connu pour réduire l’IG (améliore le rendement de l’insuline)

Donc Rajouter des huiles pressez à froid dans les salades.

Ajouter de la cannelle aux préparations sucrées, et additionner des aliments à faible IG aux aliments à fort IG (Pomme de terre).

 

La quantité d’aliments digérés ou charge glycémique

L’IG est calculé par rapport à une portion de 50 grammes.

C’est donc la quantité d’aliments qui est importante. La montée glycémique ne sera pas trop importante pour une faible quantité d’aliment à IG élevé alors qu’une quantité importante d’un aliment à IG moyen peut amener une forte élévation glycémique :notion de charge glycémique.

 

Le moment d’absorption des glucides

Consommé le matin à jeun les glucides ont tendance à faire monter la glycémie à un niveau plus important qu’à un autre moment de la journée. Il vaut mieux donc éviter les petits déjeuners à forte charge glycémique.

 

Cuisson et soufflage

La cuisson augmente l’IG des aliments .Par exemple les carottes cuites ont un IG multiplié par 3 par rapport à la même quantité de carotte crues.

Les céréales soufflées ont un IG très augmenté, de même pour les galettes de riz , maïs, épeautre, cracotte, muesli sans gluten qui sont de faux amis. 

Commencer les repas par une crudité (fibre et IG faible).

 

La nature des glucides

Certain amidons ont par nature des IG +/- élevé du fait de leur variété glucidique : le riz basmati a un IG plus faible

 IG faible : Fruits, légumes verts, légumineuse, chocolat, produit laitier, viandes, œufs oléagineux.

IG moyen : certaine céréale complète, certain fruit sec et méditerranéens

IG élevé : pain blanc, riz blanc, pommes de terre, pastèques, melons, confiserie.

 

Les sucres dans le métabolisme général

 

Les glucides nécessaires à notre santé sans excès

Notre organisme a continuellement besoin de glucides à commencer par notre cerveau : environ 5 g /h.

Ses réserves ne dépassent pas 10 mn.

Les glucides sont nécessaires au métabolisme de base : fonctionnement des appareils circulatoires, respiratoires, digestifs, locomoteur et fonctions cellulaires. Mais en occident on ingère plus de calories que nécessaire si bien que nous stockons des graisses.

Pour l’OMS les besoins en sucre libre (c’est a dire de sucre ajouté) sont de 25 g :

Par exemple 1 cas de ketchup=4g

 

Le métabolisme des sucres est variable selon les individus : ce qui sera détecté par le naturopathe qui observera : des éléments cliniques de vitalité et les résultats d’analyse biologique.

L’iridologie

Les personnes au yeux verts sont + sensibles aux sucres avec tendance aux déséquilibre du micro biote et de la glycémie

Les personnes aux yeux bleus ont tendance à l’acidose et à la déminéralisation. Ceux-ci sont aggravés par les problèmes glucidiques.

Les personnes aux yeux marrons sont sujet aux surcharges de tous ordres : métabolique, circulatoire, digestive et hépatique. Ces problèmes sont aggravés par les déséquilibres en sucre.

Nota bene

L’observation de la couleur de l’iris se fait avec un iridoscope car la couleur originelle des yeux peut être masqué par des taches survenues ultérieurement.

 

Influence du groupe sanguin

Le groupe 0, appelé « le chasseur », apparu le 1° dans l’espèce humaine, très sensible à la consommation de sucre facilement déséquilibré par la consommation de céréale, de farineux type pomme de terre, et de produits laitiers, amélioré par la consommation de légume et de protéines animales

On recommande donc de consommer les légumes peu sucrés, salade verte sans restriction quantitative.

Portion raisonnable de protéines animale de préférence viande blanche, poisson :(sardine maquereau hareng) et œufs fruits oléagineux et céréales(éviter gluten et produits laitiers)

 

Groupe A

Apparu avec les « « groupes agricoles » (néolithique) et les régimes végétariens .Les agriculteurs peuvent se permettre de consommer plus de céréales et de légumineuses et moins de protéines animales. Mais la majorité de l’assiette doit être composée de légumes et moins de protéines animales .Les céréales sont considérées comme de la colle en naturopathie .On préfèrera les légumes crus et peu sucrés ainsi que les graines germées qui apportent enzymes, vitamines, minéraux et protéines (faire germer les céréales et légumineuses avant de consommer.

 

Groupe B et AB

Leur choix alimentaire sera plus vaste que pour les précédents. Les régimes alimentaires sont plus spécifiques pour les groupes A et 0 que pour les groupes B et AB.

Encore une fois ces grandes lignes sont à individualiser.

 

 

Chapitre 6

Les effets des sucres sur l’organisme

 

Sucres, micro-biotes et digestion

La digestion des sucres

Il faut d’abord les digérer et donc ces molécules complexe sont transformer en molécules plus simples

Dans la bouche l’amylase salivaire commence le travail, il est important de bien mastiquer.

Dans l’estomac les sucres accélèrent la digestion et fermentent.

Dans l’intestin grêle les sucres sont absorbés.

Dans le colon ont lieu l’absorption de l’eau et les processus de fermentation-putréfaction sous l’action du micro-biote.

 

Fermentation et putréfaction

La fermentation est du aux sucre et à la cellulose. Si la fermentation est trop importante (consommation excessive de fibre végétales, d’hydrate de carbone, de pain pate, riz pomme de terre ou de gâteaux sucrés).Les gaz, produits dans le colon droit, ont une odeur neutre accompagnés de colite douloureuse.

La putréfaction a lieu dans le colon gauche. Quand elle est excessive, lors d’une alimentation excessive en protéine, il y aura production de gaz malodorants voir nauséabonds du a un excès de protéines dans l’alimentation.

 

Les déséquilibres du micro biotes

-La dysbiose : déséquilibre entre les bactéries et levures du colon.

Avant tout lié a la consommation de des sucres : glucides en excès simple (fruit) ou complexe (céréales)

Reconnaître une dysbiose

Symptôme digestif : diarrhée constipation alternance des deux, ballonnements, gaz éructation, spasmes, crampes et douleurs digestives, langue blanche, colon irritable.

Symptôme annexe : carence (malabsorption intestinale), fatigue, céphalée, insomnie attirance pour les sucres, acné ,exéma ,mycose ,cystite.

 

-La candidose

Le candida Albicans est une levure habituel du système digestif .Il y trouve les sucres résiduels qu’il digère.

A l’équilibre avec le micro-biote, son développement est contrôlé par la bonne flore.

Mais une alimentation trop riche en glucide, le stress, une grossesse, les antibiotiques, la pilule peut faire émerger une candidose. 

Il peut alors déployer ses filaments le long du tube digestif (muguet buccale, annale, vulvo-vaginite

Ce phénomène est souvent observé lors de la prise d’antibiotique.

La prise d’antibiotique doit donc être réservée à des indications précises.

Il est donc important de savoir prendre à temps les plantes de renforcement de l’immunité. L’utilisation des huiles essentiels, oléo capsules, charbon activé, argent colloïdal, extrait de pépins de pamplemousse.

 

-Soutien du micro-biote

Lorsqu’on est contraint de prendre des antibiotiques, il faut reconstituer le micro-biote en utilisant les nettoyants ainsi que les pré-biotiques. Reconstituer un micro-biote stable peut prendre du temps. 

Pour savoir si on est porteur d’une candidose, on peut rechercher la présence de ses métabolites dans les urines ce qui se fait en laboratoire.

Les aspects typiques du muguet sont des brulures digestives à la déglutition, la présence du champignon peut être détecté par écouvillonnage. Brulure nasale avec muqueuse épaissie,prurit des conduits auditifs.

 

Les selles collantes malodorantes avec la présence du candidat sur les cultures

Vulvo-Vaginite mycosique de symptomatologie classique démangeaisons brulure dyspareunie perte blanche

Des solution concrètes existe a voir avec votre naturopathe

 

 

Les montagnes russes de la glycémie

-Fonctionnement normal

Au cours de la digestion le glucose la sécrétion d’insuline régularise les valeurs de la glycémie.

A jeun la glycémie est entre 0.6 et 1 gramme / litre

Après un repas la glycémie augmente transitoirement pendant 1 à 2 heures

Le glucose est stocké sous forme de glycogène dans le foie et dans le muscle pour être immédiatement disponible.

Quand la glycémie devient instable à force de surcharge, de stress, des hypoglycémies peuvent survenir. L’organisme entre dans une situation complexe faite de déséquilibres successifs qui vont amener un diabète de type 2.

Autant l’hypoglycémie est facile à diagnostiquer (malaise avec sensation de faim) avec les bandelettes d’analyse, autant la glycémie instable est difficile à dépister.

 

-Les glycémies instables

Elles sont marquées par une anarchie dans la sensation de faim accompagnée de malaise ou de fatigue, mauvaise tolérance au jeune avec irritabilité  mais également de soif  récurrente, variabilité dans le poids, insomnie.

Il peut y avoir des origines endocriniennes variables aux hypoglycémies cela doit être envisagé par un bilan de santé globale.

La prise en charge de cette situation nécessite d’envisager plusieurs axes de recommandation : alimentation, gestion du stress, hygiène de vie. L’instauration de nouvelles habitudes alimentaires pendant la cure de 8 semaines constitue un début de réponse.

 

 

Chapitre 7

Les troubles métaboliques généré par les sucres.

 

Le sucre a l’origine de la mucose et de l’acidose

En naturopathie il existe 2 grands types de toxiques 

Acides sou cristaux 

Les colles ou mucus

Le sucre est dans ces 2 catégories

 

-Acidose toxique

Lorsqu’il existe une tendance a l’acidification de l’organisme, nous puisons dans les réserves minérales pour maintenir l’équilibre acide base (Ph)

Apparaissent alors les perturbations liés à la déminéralisation : dermatose sèche, détérioration des phanères, pathologies ostéo articulaires et du système nerveux.

 

-Mucose toxique

L’excès de production de mucus ou de sébum ainsi que de cellules graisseuses va générer :

Dermatose purulente, acné. 

Sécrétions épaisses ORL avec rhum bronchite sinusite par dysfonction muco- ciliaire (responsable de l’élimination des bactéries, et de la protection des voix aériennes)

 

Problème particulier de l’acnée

La tendance à l’acné peut être combattue en diminuant les apports en sucres raffinés et les aliments à index glycémique élevé.

Confiserie et pâtisserie

Pate blanche (pain riz blanc)

Le gluten est à éviter

Aliments industriel sauce charcuterie

Excès de matière grasse saturé : beurre crème fromage (qui ne devrait pas dépasser 10% du total lipidique absorbé)

 

Eviter les produits laitiers provenant des vaches qui sont par nature indigeste sont également producteurs de mucus. Les produits laitiers plus digestes sont ceux de la chèvre

Les fromages fermentés sont plus digestes 

Pendant la cure donc au mieux consommer les fromages de chèvre 2 fois par semaine

 

Consommer de l’eau pure

 

Des acides gras riche en oméga 3(effets anti-inflammatoires).On les trouve dans les poissons des mers froides mais aussi huile de colza, lin, cameline, chanvre (non chauffée et conservé au frigo)

Légumes et fruits qui apportent vitamines minéraux oligoéléments de préférence ceux de couleur orange, rouge, violet,verte ,riches en anti oxydant (chlorophylle et anti oxydant agissent en synergie).

Epices et aromates : curcuma, gingembre, romarin, cannelle, coriandre, cumin, origan basilique

Les aliments riches en fibres

 

 

Autres pathologies lié aux sucres

 

Obésité et surcharge pondérale : on observe une augmentation de l’obésité et de la surcharge pondérale dans la population générale mais aussi, et c’est récent, dans les populations jeunes (obésité de l’adolescent). Il faut souhaiter que les mesures de santé publique ainsi que la prise de conscience au niveau le la population générale feront régresser. 

 

 

Vieillissement prématuré : Les études scientifiques les plus récentes révèlent le rôle néfaste des sucres dans les maladies cardiaques éclipsant la théorie du « tout cholestérol », ainsi que le développement de ces maladies chez des sujets jeunes.

 

 

Maladies de surcharge exemple : le diabète: 

La présence d’un taux de glucide trop élevé dans l’organisme va amener la formation de protéines trop riche en sucre (protéines glyquées dosées régulièrement chez le diabétique et marqueur d’évolutivité de la maladie).

Ces protéines anormales induisent inflammation et production de radicaux libres .La maladie détériore l’ensemble de l’architecture souple de l’organisme : le collagène .Ce qui fait du diabète une maladie qui concerne l’ensemble de l’organisme.

En particulier les petits vaisseaux : responsable d’artérite, de micro-vascularite (atteinte des petits vaisseaux de l’œil du cerveaux des reins).

Mais aussi l’appareil ostéo-articulaire, neurologique, cutanéo-muqueux, etc

 

 

Rôle du sucre dans l’émergence des cancer : les sucres sont le nutriment préféré des cellules à croissance rapides des cancers.

 

Rôles des sucres dans la stéatose hépatique connu depuis l’antiquité .C’est l’excès de sucre quel qu’il soit y compris les sucre lent qui amène la stéatose hépatique puis la cirrhose hépatique à un stade de plus.

 

CONCLUSION

            Faire le choix de se libérer du sucre c’est choisir d’améliorer sa santé et de perdre ses kilos superflus

Comme nous l’avons précisé, l’accoutumance au sucre est un mal insidieux qui  nécessite un véritable déconditionnement .Le naturopathe est l’interlocuteur privilégié pour ce travail ,car le cheminement est semé d’embuches et il est le mieux placé pour  les débusquer. 

Si ce cheminent est difficile nul doute que le résultat du sevrage sera à la hauteur des espérances en faisant de vous l’acteur motivé et efficace de votre propre santé.Ecrivez votre article ici...


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